Je découvris le travail de Jacques, lorsqu’un collectionneur sollicita mon expertise. Troublé par l’hyperréalisme de sa peinture, il craignait une supercherie technique proche de la photographie retouchée.
Après l’ascension des sept étages, j’entrai dans l’univers du peintre : une accumulation de portraits d’hommes. Chaque mur en était recouvert, des piles s’accumulaient sur le sol moquetté de rouge. (…) »
Pierre Passebon
(extrait du livre Jacques Sultana, ed. Pierre Passebon, 2022)